Who Puts the ‘Active’ into ‘Active Learning’?

Mason, John (2024). Who Puts the ‘Active’ into ‘Active Learning’? Canadian Journal of Science, Mathematics and Technology Education (Early access).

DOI: https://doi.org/10.1007/s42330-024-00318-0

Abstract

Learning is here considered to have taken place when someone has developed the habit, propensity, and disposition to attend productively to things not previously noticed, and in ways not previously experienced, to do with some specific and particular content. ‘Active learning’ sounds like a tautology, but was introduced as a contrast to the more passive activity of students sitting in lectures listening and transcribing mathematics written on a board or screen onto their own paper. The stance taken here is that effective and efficient learning involves active engagement in activity, but includes enculturation through being in the presence of a relative expert1 who themselves is manifesting mathematical thinking, not simply passing on the records of the results of previous mathematical thought. Such ‘passivity’ does not necessarily require intention. Following Bennett2 actions are here taken to involve three agents or impulses: initiating, responding, and reconciling or mediating. All three agents are thus active, but in different ways. Interactions intended to contribute to learning are considered to be actions, and so involve three agents: learner, teacher (in some manifestation), and mathematical content, all within a culture or ethos. Since there are six different ways in which the triple of agents can be assigned to the triple of impulses, six different modes are possible. Analysing these modes sheds light on different ways in which learning could be said to be ‘active’. Activity takes place within a mode of interaction. Again following Bennett, effective activity is here taken to require appropriate relationships among the gap between current state and intended goal, the resources available, and the tasks set.

1Vygotsky (1978) pointed out that ‘higher psychological processes’ are first encountered in others.

2Bennett (1993); see also Shantock Systematics Group (1975)

On considère qu’il y a apprentissage lorsque quelqu’un prend l’habitude, qu’il a la propension ainsi que la disposition à s’occuper de façon productive de choses qu’il n’avait pas remarquées auparavant, et d’une manière qu’il n’avait jamais expérimentée, et qui ont un rapport avec un contenu spécifique et particulier. L’expression « apprentissage actif» semble être une tautologie, mais elle a été instaurée pour distinguer ce processus de l’activité plus passive d’élèves assis dans des cours magistraux, écoutant et transcrivant sur leurs propres feuilles de papier des mathématiques écrites au tableau ou à l’écran. Notre estimons qu’un apprentissage efficace et performant implique un engagement actif dans l’activité, mais il inclut l’enculturation par la présence d’un expert relatif 1 qui manifeste lui-même la pensée mathématique, et ne se contente pas de rapporter des résultats d’une pensée mathématique antérieure. Une telle « passivité» ne requiert pas nécessairement une intention. À l’instar de Bennett 2 , les actions sont ici considérées comme impliquant trois agents ou impulsions: l’initiation, la réponse et la réconciliation ou la médiation. Les trois agents sont donc actifs, mais de manière différente. Les interactions destinées à contribuer à l’apprentissage sont considérées comme des actions et elles supposent donc la présence de trois agents: l’élève, l’enseignant (sous une forme ou une autre) et le contenu mathématique, le tout dans le cadre d’une culture ou d’une éthique. Comme il existe six façons différentes d’affecter les trois agents à chacune des impulsions, six modes distincts sont possibles. L’analyse de ces modes met en lumière les différentes façons dont l’apprentissage peut être qualifié d’« actif». L’activité se déroule dans un mode d’interaction. Toujours selon Bennett, une activité efficace exige des relations appropriées entre l’écart qui existe entre l’état actuel des choses et l’objectif, les ressources disponibles et les tâches fixées.

1 Vygotsky (1978) a souligné que les « processus psychologiques supérieurs » sont d'abord rencontrés chez les autres.

2 Bennett (1993); voir aussi Shantock Systematics Group (1975)

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