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Gibbons, Rachel
(2007).
Abstract
La regence des femmes n'était pas inconnue en France au bas moyen âge, mais la position de la reine Isabeau de Bavière a été sans précédent. À la suite de la folie de son mari, Charles VI, Isabeau a été poussé dans une prééminence inattendue comme chef d'Etat d’urgence – et, probablement, aussi une prééminence fâcheuse, étant donnée l'amertume de la lutte pour la puissance parmi les parents du roi éclatant autour d'elle et au-dessus d'elle, et la légitimité qui soutiennent par elle (ou commandez au-dessus d'elle et, extrèmement, de ses enfants) fournirait à n'importe quel réclamant pour être régent. On va analyser la législation de régence décrétée par Charles VI en moments de lucidité semblante, premièrement, en janvier 1393 en vue d’une mort imminente et (il semble) prévue; et, encore, pendant 1402-3 quand, dix ans après que sa première attaque, il était claire, maintenant, que Charles ne soit allé ni mourir ni récupérer de sa affliction mystérieuse, et que des dispositions ont dû être prises pour continuer l’administration au nom et aux absences du roi quand il était incapable de gouverner. On va examiner le rôle établi pour la reine Isabeau dans chacun de ces règlements et explorer la signification de celui au contexte de la situation politique au commencement du quinzième siècle et, aussi, au contexte des études reginale – l’histoire des reines – au moyen âge.